Essai détaillé / Suzuki Baleno 1.2 : Toute nouvelle

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Seul le nom fait son grand retour. Tout le reste est différent, de la plateforme aux moteurs, avec notamment un inédit 3 cylindres suralimenté et la possibilité pour le 4 cylindres 1.2 Dualjet de profiter d’une hybridation légère. Et désormais, la Baleno joue chez les compactes de moins de 4 mètres.

Sous des allures plutôt classiques, voire datées (un style que, chez Suzuki, on a baptisé «liquid flow»), la Baleno (mais pourquoi diable avoir repris cette appellation, qui fait référence à un modèle complètement différent et dont la commercialisation a cessé chez nous depuis près de 15 ans?) est un modèle entièrement neuf. Ainsi, elle bénéficie d’une nouvelle plateforme légère (jusqu’à 100 kg de moins que celle de la Swift, pourtant plus petite de 14 cm!) et de moteurs modernes, dont un tout nouveau 3 cylindres turbo 1.0 Boosterjet fort de 111 ch et de 170 Nm. L’entrée de gamme est assurée par le 1.2 (90 ch, 120 Nm) emprunté à la Swift, mais qui, ici, peut s’associer à un alternodémarreur permettant d’abaisser la consommation (théorique) en cycle urbain de 5,3 à 4,7 l/100 km. Parmi les autres originalités, on notera la disponibilité (en haut de gamme) d’un dispositif de freinage d’urgence autonome et d’un régulateur de vitesse à contrôle de distance.

  • Encombrement/habitabilité
  • Equipement de série
  • Performances dans l'absolu
  • Consommation bien maîtrisée
  • Discrétion du petit 1.2
  • Direction peu centrée
  • Gestion de l'accélérateur
  • Progression parfois saccadée
  • Hauteur du seuil de coffre
  • Petits détails d'équipement
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