Essai détaillé / Toyota Auris Touring Sports HSD

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Deuxième break hybride à coffre pleinement utilisable (après la Mercedes E 300), l'Auris HSD Touring Sports est aussi le 23e modèle à essence/électricité dont Toyota dispose au niveau mondial. Voilà deux preuves que l'hybridation est entrée dans les moeur

Devant l'éveil d'une concurrence qui promet d'être féroce, Toyota peut profiter de sa rente de situation (5,5 millions de ses hybrides circulent dans le monde !) et faire étalage de son avance. D'abord en ne montrant que ça à Francfort, où son stand sera le seul à être consacré à 100% aux hybrides ! Il y en aura forcément pour toutes les bourses. Ce qui est loin d'être le cas chez les Européens, où l'hybridation ne concerne toujours que les modèles de luxe, voire les marques «premium». Le number one nippon a encore le temps de voir venir, sans annoncer d'évolution technique en production - sinon en concept (Yaris Hybrid-R) - et en se contentant d'étendre la gamme à partir d'un nombre réduit de groupes motopropulseurs HSD.

  • Vrai agrément en commuting (péri)urbain
  • Conso très basse en ville et sur les trajets lents
  • Ergonomie et facilité de conduite
  • Équipement de base et qualité perçue
  • Style et sens pratique réconciliés
  • Habitabilité à l'arrière et coffre intéressant
  • Ascension dans l'échelle de prix des HSD
  • Attelage freiné limité à 345 kg...
  • Longs trajets autoroutiers soporifiques
  • Consommation autoroutière quelconque
  • Fixations cache-bagages approximatives
  • Un peu besogneuse sur les longs faux plats
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