En version hybride, la nouvelle Yaris se veut plus civique que jamais en ville, mais nous promet aussi nettement plus de plaisir sur les petites routes. Voyons cela…
C’est déjà la 4e génération de Yaris. Et la deuxième qui se décline en version hybride. Sur le marché de la citadine hybride «autorechargeable», le modèle doit composer avec deux concurrentes: les nouvelles Honda Jazz et Renault Clio. Pour rivaliser, la Yaris a complètement renouvelé son propulseur hybride, peaufiné ses qualités routières et refaçonné son look, tant dehors que dedans.
BIENVENUE À BORD
Habitabilité 14,00
Position de conduite 15,50
Volume du coffre 12,50
Rangements 15,50
Finition/qualité perçue 13,00
Moyenne/20 14,10
LA TECHNO
Ergonomie générale 12,50
Qualité du GPS 12,00
Degré de connectivité 16,00
Sécurité de série 19,00
Qualité de la climatisation 16,50
Moyenne/20 15,20
EN ROUTE
Confort des sièges 14,00
Confort de la suspension 13,50
Comportement routier 16,00
Insonorisation 14,00
Agrément moteur/boîte 15,50
Moyenne/20 14,60
LES FINANCES
Prix de prix de base 14,50
Prix/équipement 13,00
Consommation mesurée 17,50
Régime fiscal/taxation 18,00
Garanties & extensions 17,50
Moyenne/20 16,10
Moyenne générale: 15,00
Conclusion
Toyota ne s’est pas contenté de peaufiner la recette de la Yaris hybride. Il en a renouvelé les ingrédients pour nous concocter une citadine savoureuse: maniable, moderne par son style et ses équipements, mais aussi civique grâce à son propulseur hybride respectueux de l’environnement. Seul hic, la politique d’équipement contraignante fait vite gonfler le prix. À part ça, d’une génération à l’autre, le modèle a bonifié sur tous les plans. La confrontation avec les nouvelles Honda Jazz et Renault Clio hybrides s’annonce tendue…
Les qualités
- Agilité et douceur de conduite en ville
- Sobriété (surtout en ville)
- Compromis confort/tenue de route
Les défauts
- Politique d’équipement contraignante
- Visibilité vers l’arrière
- Emballement moteur toujours présent sous forte accélération