Lors du lancement de la Golf VII en 2012, il était évident que les variantes de carrosserie habituelles suivraient rapidement. Aujourd'hui, c'est le break qui s'y colle, toujours dénommé Variant en langage maison. Avec quels arguments ?
En faisant de la Golf VII un break, les designers ont veillé à conserver l'identité stylistique du modèle, ce qui n'était pas le cas de la précédente génération. Le porte-à-faux arrière est allongé de 30 cm, ce qui porte la longueur totale à 4,56 m, soit un encombrement dans la moyenne de la catégorie. L'empattement et les voies sont inchangés. Il s'agit de la plateforme modulaire MQB, qui sert de base à toutes les tractions du groupe. Elle reprend aussi l'éventail des moteurs : 4 à essence et 3 Diesel. Dans la première catégorie, on trouve les 1.2 TSI 85 et 105 et les 1.4 TSI 122 et 140. Ce dernier se distingue par un dispositif de désactivation des cylindres inauguré par la Polo BlueGT. En Diesel, on trouve les 1.6 TDI 90 et 105 ainsi que le 2.0 TDI 150.
- Soin dans l'assemblage et qualité des matériaux
- Confort de marche général
- Comportement routier homogène et efficace
- Volume de chargement parmi les références
- Équipement relatif à la sécurité très complet
- Ergonomie globale très intuitive
- Modularité limitée de la banquette
- Moteur sonore en charge et à froid
- Étagement de la boîte longuet en 4e et 5e
- Équipements élémentaires relégués aux options
- Lenteur du GPS à l'encodage
- Manque d'originalité dans le style