Longtemps besogneuse en version Diesel, la fourmi de VW grandit et voit sa 4e génération éclore avec force TDI. Un 3 et un 4 cylindres la poussent à migrer loin en famille.
On ne verra sans doute plus la Polo avec un toit souple sur toute la longueur du pavillon; elle est trop grande pour jouer avec ça. Fini les Open Air et autres fanfreluches, qui ne fleuriront plus que sur la Lupo. Plus familiale et mieux diésélisée que jamais, la Polo IV touche un client plus éclectique – celui qui ne pourra plus se payer la Golf V. Quitte à refroidir la majorité de conductrices qui constituait la frange majoritaire de ses fidèles. Difficile de rester inconditionnelles devant une petite Skoda Fabia pas très différente. Et moins chère