Avec le Taigo, Volkswagen souhaite combler le fossé entre le T-Cross et la Polo et investir lui aussi le segment des crossovers «coupé». Et non, nous non plus, nous ne savions pas qu’il s’agissait d’un tel gouffre... Texte: Steven Appelmans | Photos: Lennen Descamps
Lifestyle, émotion, individualité, sportivité: lors de la présentation du Taigo, on n’a guère lésiné sur les termes à la mode. Ce n’est évidemment pas tous les jours qu’on lance un SUV-coupé dans le segment B. Surtout quand on s’appelle Volkswagen. Les Allemands ont de fait acquis leur renommée grâce à une rigueur toute germanique, bien loin des clichés frivoles. Au point même que nous ne voyons pas très bien comment concilier cette apparition avec leur image «carrée». Il s’agit pourtant d’une question essentielle, car l’absence de réponse réduirait à néant la valeur ajoutée de ce Taigo.
- Intérieur spacieux et fonctionnel
- Comportement routier de qualité
- 1.5 TSI agréable et discret
- Quelle plus-value?
- Hayon lourd à manipuler
- Équipements de série manquants