Essai détaillé / VW Eos 2.0 FSI & 2.0 TFSI

Rédigé par le

Sommaire

Découvrez notre prêt auto

Créateur du cabrio de grande diffusion bien avant que le genre n'entre dans le carrousel de la mode, Volkswagen ne pouvait nous présenter que sa propre interprétation du coupé-cabriolet: Eos, du nom de la déesse grecque de l'aurore. Nouveau départ, donc.

Volkswagen prouve une fois encore sa tentation de monter en gamme. Et pas qu'un peu... Toute la démarche qui a prévalu lors de la conception de l'Eos en atteste: à partir de l'empattement de la Golf et du train arrière de la Passat, le cahier des charges stipulait qu'il fallait, dans cette classe de gabarit, proposer le premier coupé-cabriolet à 4 bonnes places. Avec un grand coffre, un beau toit, une silhouette élégante - carrosserie ouverte ou fermée - et un sens pratique prononcé pour l'espèce (trappe à skis). L'Eos devait aussi donner les garanties de confort d'un vrai coupé (à toit ouvrant!) et les sensations de la conduite en plein air (sans ses désagréments) d'un vrai cabriolet. Mission accomplie. Elle partage ainsi avec la Volvo C70 une quête d'absolu qui la met confortablement à cheval entre 2 catégories (C et D). Ce plus en prestations justifie qu'elle soit plus chère que ses rivales de chez Opel (Astra TwinTop), Peugeot (307 CC) et Renault (Mégane CC). Pour la voir investir nos routes, il faudra toutefois attendre la rentrée et l'arrivée de la Diesel TDI... qui nous donnera un prétexte à remettre le couvert.

Lire la suite? Téléchargez GRATUITEMENT l'essai complet!
Prix en savoir plus sur la version essayée NC
Avis Rédaction NC