Essais moto / Suzuki Burgman 400 : Cure de jouvence

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Face au dynamisme de la concurrence, Suzuki restait quelque peu en retrait. Le nouveau Burgman 400, amélioré et remis au goût du jour, va permettre au constructeur d’Hamamatsu de revenir sur le devant de la scène.

C’est quand on a la chance de mettre l’un à côté de l’autre un «ancien» modèle et le «nouveau» que l’on se rend compte que les designers ne chôment pas. Apparu en 1998, le Burgman 400 fut l’un des pionniers des maxiscooters. En cette fin 2017, le voici de retour, plus élégant et sportif que jamais. Parmi les retouches stylistiques, notons une bulle plus basse pour ne pas parasiter le champ de vision. Revers de la médaille, si elle protège bien le torse, le casque, lui, n’est pas à l’abri des turbulences. Cette bulle étant fixe, si vous roulez fréquemment sur l’autoroute, un passage par la case accessoires ne sera sans doute pas inutile. La carrosserie du Burgman 400 se veut plus incisive, inspirée par les «coupés» de l’automobile. Cela se remarque particulièrement à la face avant, plus ramassée et plus droite. Les diodes apparaissent à l’avant comme à l’arrière. Enfin, sous le nez du conducteur, un nouveau tableau de bord, avec odomètre, trip A et B, température de l’air, consommations moyennes, jauge, indicateur de gel, témoin de conduite économique et indicateur de changement d’huile.

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