Premier essai / Alfa Romeo Giulietta

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Pour 2014, la Giulietta bénéficie d'améliorations qui profitent à son confort, sa connectivité ainsi qu'à sa consommation et à ses émissions de CO2. Présentation.

Il faut un oeil averti pour distinguer une nouvelle Giulietta d'une ancienne. Et pour cause : les designers n'ont pas touché à sa robe sculpturale, sauf pour la mythique calandre, légèrement modernisée, ou les feux antibrouillards, désormais cerclés de chrome. À l'intérieur, par contre, on ne peut pas louper les changements : les sièges ont été redessinés - leurs flancs renforcés contribuent au maintien -, à l'instar de la planche de bord. Du côté mécanique, ça bouge aussi. Certes, le châssis n'a pas fait l'objet d'adaptation, mais les moteurs à essence répondent désormais tous à la norme Euro 6. Les deux Diesel ne sont «que» Euro 5, mais le 2 litres Multijet est disponible en une inédite variante de 150 ch qui se caractérise par une turbine de suralimentation plus compacte et une rampe commune de troisième génération et de nouveaux injecteurs.

Le 2 litres JTDM laisse d'emblée percevoir les améliorations dont il a fait l'objet. Il se montre sensiblement plus discret, tandis qu'il est toujours très disponible à bas régime et généreux quand on le titille. La conduite profite par ailleurs du bon compris confort/efficacité de la suspension. Certes, l'amortissement est toujours un peu insuffisant sur les portions bosselées (contacts avec les butées de compression), mais il procure un bon filtrage des petites et moyennes irrégularités. Au quotidien, c'est finalement tout ce qui compte. Non ?

La jolie Giulietta revient au contact grâce à une foultitude de petites améliorations. La voilà repartie pour un tour.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1562 du 13 novembre 2013.

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