Premier essai / Alfa Romeo Mito Q.V.

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Après les Giulietta et MiTo normales, c'est au tour de la Quadrifoglio Verde d'évoluer sensiblement. Son moteur délivre toujours 170 ch, mais devient disponible exclusivement en boîte robotisée.

Extérieurement, les designers reprennent la recette appliquée à la Giulietta Q.V.: finition anthracite poli des coiffes de rétroviseurs, des barrettes de calandre, des poignées de portes et du cerclage des phares tant à l'avant qu'à l'arrière, sans oublier une teinte mate inédite, le Grigio Magnesio. Dans l'habitacle, même rengaine que pour la grande soeur Giulietta avec l'apparition du nouveau système d'infodivertissement Uconnect, d'un volant inédit et d'un trèfle à quatre feuilles au milieu du tableau de bord. En option, les fanatiques apprécieront les sièges baquets Sabelt en cuir/Alcantara et à coque arrière en fibre de carbone.

Sur la route, la plus puissante des MiTo procure des sensations agréables, néanmoins perturbées par, à nouveau, certaines réactions de la boîte robotisée TCT, cette fois dans un registre différent de ce que nous relevions avec la Giulietta. En fait, au démarrage, la puissance semble muselée sur les premiers mètres - sans doute pour empêcher toute amorce de patinage des roues avant - puis, soudain, la cavalerie déboule au grand galop et vous propulse en avant. Assez désagréable... Pour le reste, la MiTo Quadrifoglio Verde conserve en toute logique ses qualités dynamiques, en ce compris son amortissement piloté.

Le remaniement de la MiTo la plus sportive semble avoir encore moins de poids que dans le cas de la Giulietta Q.V. Cela dit, sa boîte de vitesses TCT a plus que jamais la capacité de s'attirer les faveurs de la génération PlayStation. Et son ADN Alfa Romeo demeure intact.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1579 du 9 juillet 2014.

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