Le tout premier SUV d’Alfa Romeo veut se distinguer par son atypisme, ce qui constitue en même temps un avantage et un inconvénient. Récit de la première véritable prise en main du Stelvio.
Dans notre avant-dernier numéro, nous avions déjà brièvement pu faire connaissance avec le Stelvio, le premier SUV d’Alfa Romeo, extrapolé de la Giulia. Malgré le peu de temps passé au volant, nos impressions étaient plutôt favorables. Mais il ne s’agissait là que d’une mise en bouche.
Alfa Romeo ne fait aucun mystère quant à ses ambitions pour le Stelvio. Responsable de la marque pour l’Europe, Fabrizio Curci nous a carrément confié: «Nous voulons être les meilleurs, et ce sur tous les plans, mais avec un SUV qui roule comme une berline sportive.» Traduction: nous voulons être meilleurs que les Porsche Macan, Jaguar F-Pace ou encore BMW X4. Une mission qu’Alfa Romeo a confiée à la plateforme utilisée par la Giulia, dans un premier temps exclusivement avec la transmission intégrale Q4. Cette dernière met fortement l’accent sur le train arrière: dans le pire des cas, le couple maxi pouvant être reporté sur l’essieu avant n’excède pas 50%. Ajoutons qu’une variante d’entrée de gamme à 2 roues (arrière) motrices et moteur Diesel est prévue pour bientôt.
- Comportement dynamique
- Compromis confort/performances
- Rapport prix/équipement
- Système multimédia daté
- Finition
- Design peu inspiré