Premier essai / BMW Alpina B3 Bi-Turbo Touring Allrad

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Il existe et il existera toujours des gens prêts à mettre la main à la poche, et pas qu’un peu, dans le but de s’offrir un supplément d’exclusivité. Pour les Béhèmistes, il y a de quoi faire chez Alpina.

Les marques de prestige allemandes veulent occuper la moindre niche de marché. Avec l’avalanche de nouveaux modèles qu’elles sortent et les produits sportifs qu’elles proposent (signés RS chez Audi, M chez BMW et AMG chez Mercedes), cet objectif n’a rien d’utopique. Cela n’empêche pas certains préparateurs indépendant de commercialiser leurs propres produits: c’est le cas d’Abt pour Audi, Brabus pour Mercedes et Alpina pour BMW. Les deux derniers ont accédé officiellement au rang de constructeur, ce qui les démarque des autres officines spécialisées en la matière.
Quelle est donc leur stratégie? Il est évident qu’ils doivent (et veulent…) proposer autre chose que les préparateurs maison. Abt, par exemple, joue résolument la carte du sport, alors que Brabus s’intéresse surtout à une clientèle particulièrement fortunée, exubérante et exclusive que l’on trouve essentiellement sur les marchés dits «émergents». Alpina, de son côté, s’est spécialisé dans la personnalisation des BMW, mais dans une tonalité disons plus discrète.
Cela fait plus de 50 ans que Burkard Bovensiepen, fondateur d’Alpina, et ses successeurs proposent des modèles dérivés des BMW de série. Tout a commencé avec un kit carburateur double corps pour la BMW 1500. Aujourd’hui, après avoir trusté les succès en compétition automobile, on en est à des voitures très exclusives, mais toujours dérivées de BMW de production. Et Alpina est parvenu à se faire une (petite) place au soleil sur ce marché à vrai dire très exigu.
Dans le cadre de cet essai, nous nous sommes intéressés à l’Alpina à essence extrapolée de l’actuelle Série 3 (pour la Diesel, voir page 72). Cette voiture est bien entendu mue par le 3.0 biturbo que l’on trouve également sous le capot des Série 3 «normales» les plus puissantes, mais cette mécanique a été retravaillée par les spécialistes d’Alpina. Elle est disponible dans la berline comme dans le break Touring. En version coupé, la voiture s’appelle maintenant B4, par analogie avec la récente Série 4 du constructeur de Munich. Il n’existe pas d’Alpina «3» à carrosserie GT, mais cela changera peut-être à l’avenir, à moins qu’Alpina préfère exercer ses talents sur une Série 4 Gran Coupé…
Les marques de prestige allemandes veulent occuper la moindre niche de marché. Avec l’avalanche de nouveaux modèles qu’elles sortent et les produits sportifs qu’elles proposent (signés RS chez Audi, M chez BMW et AMG chez Mercedes), cet objectif n’a rien d’utopique. Cela n’empêche pas certains préparateurs indépendant de commercialiser leurs propres produits: c’est le cas d’Abt pour Audi, Brabus pour Mercedes et Alpina pour BMW. Les deux derniers ont accédé officiellement au rang de constructeur, ce qui les démarque des autres officines spécialisées en la matière.
Quelle est donc leur stratégie? Il est évident qu’ils doivent (et veulent…) proposer autre chose que les préparateurs maison. Abt, par exemple, joue résolument la carte du sport, alors que Brabus s’intéresse surtout à une clientèle particulièrement fortunée, exubérante et exclusive que l’on trouve essentiellement sur les marchés dits «émergents». Alpina, de son côté, s’est spécialisé dans la personnalisation des BMW, mais dans une tonalité disons plus discrète.
Cela fait plus de 50 ans que Burkard Bovensiepen, fondateur d’Alpina, et ses successeurs proposent des modèles dérivés des BMW de série. Tout a commencé avec un kit carburateur double corps pour la BMW 1500. Aujourd’hui, après avoir trusté les succès en compétition automobile, on en est à des voitures très exclusives, mais toujours dérivées de BMW de production. Et Alpina est parvenu à se faire une (petite) place au soleil sur ce marché à vrai dire très exigu.
Dans le cadre de cet essai, nous nous sommes intéressés à l’Alpina à essence extrapolée de l’actuelle Série 3 (pour la Diesel, voir page 72). Cette voiture est bien entendu mue par le 3.0 biturbo que l’on trouve également sous le capot des Série 3 «normales» les plus puissantes, mais cette mécanique a été retravaillée par les spécialistes d’Alpina. Elle est disponible dans la berline comme dans le break Touring. En version coupé, la voiture s’appelle maintenant B4, par analogie avec la récente Série 4 du constructeur de Munich. Il n’existe pas d’Alpina «3» à carrosserie GT, mais cela changera peut-être à l’avenir, à moins qu’Alpina préfère exercer ses talents sur une Série 4 Gran Coupé…
 
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