Premier essai / DS 3 : Botox familial

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Ayant coupé le cordon ombilical avec Citroën pour vivre sur sa propre marque, la DS 3 embarque de nouvelles technologies ainsi que la boîte automatique EAT6.

C’est en 2010 que Citroën a décidé de s’attaquer aux petites berlines ultrapersonnalisables avec la DS 3. Avec plus de 390.000 véhicules vendus, force est de constater que cette stratégie s’est avérée fructueuse. Si bien que cette année a vu DS se séparer de Citroën pour constituer aujourd’hui une marque à part entière du groupe PSA, se voulant haut de gamme.

La DS 3 est la petite dernière à rejoindre la récente marque, précédée des 5 et 4, en arborant une nouvelle face avant. Les chevrons laissent désormais place au logo DS sur une calandre de forme hexagonale. On y retrouve également les projecteurs à DEL qui accompagnent les antibrouillards, à diodes eux aussi. Comme précédemment, une variante cabriolet à toit en toile est également disponible. Malheureusement, ce modèle souffre toujours d’une mauvaise isolation aux bruits environnants ainsi que d’une visibilité vers l’arrière réduite en mode décapoté.

  • Agrément de la boîte
  • Moteur PureTech souple et volontaire
  • Système d'infodivertissement amélioré
  • Insonorisation du cabriolet
  • Evolution stylistique minime
  • Absence de palettes au volant
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