Premier véhicule concrétisant le rapprochement de Fiat et de Chrysler organisé par Sergio Marchionne, le Freemont est en réalité un Dodge Journey rebadgé, à l'habitacle et au châssis revus et doté d'un moteur «made in Italy». Des modifications qui changen
Difficile de cataloguer le Freemont, une espèce de gros break aux allures de SUV dont l'habitacle fait penser à celui d'un monospace. Construit dans l'usine de Toluca (Mexique), il repose sur ce qui est certainement une des plateformes les plus flexibles jamais développées : celle conçue par Mitsubishi/Chrysler, utilisée par ces deux mêmes marques ainsi que par Dodge, Jeep, Citroën et Peugeot! La différence par rapport au Journey (signalons au passage que, depuis la fusion des deux groupes, les marques Dodge et Chrysler ne sont plus importées en Europe), c'est qu'outre un habitacle redessiné et doté de matériaux plus en rapport avec les exigences européennes en matière de qualité perçue, le Freemont a troqué le 2.0 TDI d'origine Volkswagen contre le 2 litres Multijet Fiat. Disponible en 136 et 163 ch avec, dans les deux cas, un couple de 350 Nm, ce moteur est accouplé à une boîte manuelle 6 rapports.