Premier essai / Hyundai Veloster DCT

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Présenté comme un coupé à double personnalité avec son nombre de portes gauche et droite asymétrique, le Veloster embarque maintenant une boîte à double embrayage.

Commercialisée depuis l'été dernier, la Hyundai Veloster a déjà droit à une évolution de taille, puisqu'elle a les honneurs de la nouvelle boîte robotisée à double embrayage à sec développée chez les Coréens. Et qui sera montée à terme dans d'autres modèles du groupe. Il s'agit d'une unité à 6 rapports. En pratique, on note un levier de vitesse coulissant dans une grille en ligne classique mais ne recelant pas de position «Sport». Cela ne veut pas dire que la fonction n'existe pas : pour l'appeler, il suffit d'actionner les palettes de part et d'autre du volant pour passer immédiatement en Manuel.

On ne peut s'empêcher de penser que cette boîte convient bien au manque de couple du moteur GDI, qui demande justement des changements de rapports fréquents pour soutenir le rythme. Or, avec cette boîte et ses palettes, ça devient presque un jeu. Et le caractère ludique du Veloster en sort renforcé. Néanmoins, cela n'empêche pas le moteur de mouliner à haut régime lors d'une brusque demande de puissance. C'est pour cela que, malgré tout, la boîte robotisée conviendrait sans doute encore mieux à un moteur disposant d'un peu plus de ressources à mi-régime.

Moyennant un supplément a priori raisonnable de 1.250 €, la boîte robotisée à double embrayage (à sec) DCT apporte au coupé Veloster un caractère ludique plus affirmé, mais sans pour autant pouvoir parler de sportivité exacerbée; le 1.6 GDI manque encore trop de couple pour procurer le dynamisme requis, un dynamisme que supporterait pourtant un châssis équilibré.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1513 du 23 décembre 2011.

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