Premier essai / Mini John Cooper Works GP : une JCW à la dure

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Pour ceux qui trouveraient la Mini John Cooper Works trop sage, Mini a concocté cette version GP, encore plus extrême. On vous emmène ?

Lors du lancement de la Mini moderne, BMW n’a pas hésité à comparer la tenue de route de cette citadine branchée à celle d’un kart. Un rapprochement marketing un peu tiré par les cheveux, mais il faut toutefois reconnaître que la petite puce se montrait très joueuse. Bien que la Mini soit devenue plus grosse et plus confortable avec le temps, le plaisir de conduire a été préservé lors de chaque nouvelle génération. Et pour souligner ce caractère dynamique, la marque d’Oxford a créé la GP: une déclinaison encore plus sauvage de la (déjà turbulente…) John Cooper Works, qui se sépare des équipements superflus pour s’alléger et exalter les sensations pures. La recette est similaire à celle utilisée par Renault avec la Mégane RS Trophy-R: la GP de chez Mini associe une carrosserie optimisée au plan aérodynamique, un habitacle dépouillé et des réglages de châssis radicaux. Mais, contrairement à Renault Sport, Mini optimise aussi le moteur. Sous le capot, on retrouve le bloc turbocompressé de la BMW M135i xDrive: un deux litres qui délivre 306 ch et 450 Nm. Cette cavalerie est envoyée vers les roues avant via un différentiel autobloquant mécanique.

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