Premier essai / Mitsubishi Outlander

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Les lignes nettes et limpides du nouvel Outlander inaugurent le nouveau code stylistique de Mitsubishi. Des caractéristiques qui se retrouvent à sa conduite ?

La troisième génération du Mitsubishi Outlander - dont ne dériveront plus, d'après nos sources, de clones français PSA - inaugure donc un nouveau code stylistique. Les arêtes assez agressives de l'ancien cèdent la place à une carrosserie infiniment plus simple. Il abandonne même la calandre trapézoïdale béante qui caractérise encore (provisoirement) la face avant des ASX, Colt et Lancer. Au contraire, cet Outlander met en avant une certaine discrétion qui, au passage, améliore sa traînée aérodynamique soignée (Cx de 0,33 au lieu de 0,36). À l'instar de la plastique extérieure, l'habitacle brille par sa retenue. La troisième rangée de sièges (option) gagne en confort.

Notre essai au volant d'un Diesel 2WD à boîte mécanique s'est soldé par un bon 7,5 l/100 km, ce qui, dans l'absolu et en environnement urbain, n'est pas si mal. Le Diesel surprend par son silence et son élasticité comparable au moteur de génération précédente. Toujours au rayon des bonnes surprises, les liaisons au sol assurent un confort bienvenu malgré une tendance plus marquée à la prise de roulis. Toutefois, pour ce passage de flambeau, le Outlander perd un peu de son dynamisme.

Le Mitsubishi Outlander n'est pas simplement plus discret en apparence, il invite aussi ses occupants dans un environnement préservé de nuisances sonores, à tel point que les bruits de roulement dépassent la voix du moteur. Pour le reste, il évolue efficacement sur la qualité perçue, l'espace, le confort, la sécurité et l'écologie. En somme, plus sérieux mais moins fun, tant en look qu'en expérience de conduite

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1536 du 14 novembre 2012.

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