Premier essai / Nissan Pulsar GT

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Comme elle le suggère explicitement, cette locomotive «provisoire» de la famille Pulsar n’est pas tout à fait une GTi. Elle appartient plutôt à la nouvelle frange «haute performance» du downsizing. Ce qui ne diminue en rien son pedigree.

La GT occupe temporairement le haut de la gamme Pulsar. C’est que, à l’instar du Juke DIG-T de 218 ch, Nissan va aussi proposer sa berline compacte en version Nismo RS, plus ambitieuse face au chrono. La perspective d’accueillir une version véritablement sportive ne change rien à la donne: Nissan fait partie de ceux qui, dans la tranche des 190 ch et plus, ont abandonné les moteurs suralimentés de 2 litres pour fourbir leurs armes avec plus petit. Grâce à Opel (Astra GTC 1.6 T 200), Peugeot (308 GT 205 ch), et Volvo (V40 T4 180 ch), mais aussi à Hyundai (i30 1.6T-GDI 186 ch) et Kia (Cee’d 1.6 GT 204 ch), pas moins de 6 constructeurs brillent dans la catégorie des 1600 cm3. La classe GTI (Volkswagen Golf 230 ch) et consorts (Ford Focus ST 250 ch, Renault Mégane RS 265 ch, Seat León Cupra (280 ch) tape plus haut, mais se borne au 2 litres de cylindrée.

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