Premier essai / Subaru Outback

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Passée pratiquement inaperçue au dernier salon de Bruxelles, la version européenne de la nouvelle Subaru Outback mérite pourtant qu’on s’y attarde. Comme une révélation.

Chez Subaru, a-t-on réellement envie de vendre des voitures? Au récent salon de Bruxelles, alors que nombre de constructeurs réservaient grand jeu et piédestal à certains modèles évoluant à peine, la toute nouvelle Outback occupait sobrement sa place, sans paillettes, comme n’importe quel autre modèle de la gamme. Heureusement, Subaru garde le sourire, rassuré par une augmentation de ses ventes de 9,9% en 2014, soit 820.000 unités au total, dont une majeure partie à destination des USA, où la marque vient de franchir pour la première fois le cap des 500.000 ventes annuelles. Ce culte de la modestie ferait preque passer sous silence la paternité des breaks «tout chemin» à Subaru, grâce à l’Outback (plus précisément la Legacy Outback), apparue dès 1995, soit 2 ans avant la Volvo XC70 et 4 avant l’Audi A6 Allroad (et alors que la Legacy Outback entame déjà sa seconde génération). Et 20 ans plus tard, elle est toujours de la partie. Elle a abandonné le nom Legacy (le modèle ayant quitté le sol européen), mais pas l’envie d’innover, notamment par son dispositif de sécurité Eyesight, basé sur le principe de la caméra stéréo; nous y reviendrons. Et ce n’est pas là son unique atout.

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