Premier essai / Suzuki Swift

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La ligne pratiquement inchangée de la dernière Swift cache une voiture 100 % nouvelle dont les dimensions plus généreuses lui permettent de reprendre ses marques face à la sympathique Alto.

Entièrement repensée, la plateforme de la dernière Swift compte de nombreuses évolutions. La nouvelle venue est plus longue. Elle mesure aujourd'hui 3,85 m de long, soit 9 cm de plus qu'auparavant, répartis sur le porte-à-faux avant et l'empattement. En attendant la version hybride plug-in (dont les protos roulent déjà au Japon) et la future Swift Sport (à moteur suralimenté), le choix est toujours donné entre deux propositions, une à essence et une Diesel. Par ailleurs, toutes les Swift ont troqué leurs tambours arrière au profit de disques pleins, tandis que l'ESP fait désormais partie de la dotation de série.

Sur la route, le progrès est marquant. Déjà plutôt sympa à conduire auparavant, la Swift a encore gagné en aplomb avec un train avant qui sature beaucoup moins rapidement - au profit de l'efficacité -, tandis que les situations de roulis sont nettement mieux maîtrisées. On se retrouve donc au volant d'une voiture au tempérament agréablement dynamique qui ne sacrifie de surcroît rien au confort de marche grâce à un amortissement très progressif, une position de conduite idéale (même pour les grands). L'insonorisation satisfait, surtout avec le 1.2 à essence qui, outre une belle rondeur, se montre nettement plus discret que le Diesel, que ce soit dans les phases transitoires où à allure stabilisée.

A peine plus grande, mais nettement mieux finie et équipée (ESP et 7 airbags de série, possibilité d'un keyless go et de sièges chauffants...), la quatrième génération de Swift capitalise sur les qualités reconnues de sa devancière tout en progressant sensiblement sur le plan dynamique.
 

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