Premier essai / Toyota ProAce Verso : Faire le break

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La nouvelle génération d’utilitaires ProAce entend sortir de la confidentialité grâce notamment à une version minibus, le ProAce Verso, une alternative aux Toyota Avensis break ou Verso.

Avec cette seconde génération de ProAce, Toyota réaffirme aussi et surtout sa confiance à PSA. En matière d’utilitaires (car il existe déjà la triplette citadine des C1/108/Aygo), l’histoire débute en 2007, lorsque Citroën, Peugeot et Fiat s’associent pour produire les Jumpy, Expert et Scudo. Toyota rejoint la bande en 2012 et, comme l’italien, «achète» l’utilitaire au groupe français afin d’occuper le terrain à moindres frais. Tout sauf un succès retentissant, certes, mais ce n’est que le début, Toyota voit plus loin, au-delà de 2020. La preuve cette année : Fiat a changé d’équipe (Renault-Opel), pas Toyota qui profite d’une belle offensive de PSA avec la troisième et ambitieuse génération de Jumpy/Expert. Et comme les français, le ProAce a droit à sa version embourgeoisée, le ProAce Verso, une déclinaison qui n’existait plus dans la gamme de l’importateur depuis 2010 et le Hiace minibus. 

  • Espace, vie à bord, modularité (des versions MPV, VIP)
  • Jusqu'à 9 places, même en version «Compact»
  • Garantie de 5 ans/ 150.000 km.
  • Détails de finition, ajustements.
  • Lutte rude face aux «frères français»
  • Disponibilité de la boîte automatique assez limitée
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